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Canadian Parents for French puts forward innovative solutions
to deal with worrisome national decline in
French second language (FSL) education

Parent-led advocacy group calls for tri-level co-ordination to implement action plan to meet Ottawa's bilingualism education targets

For Immediate Release

(OTTAWA, October 24, 2003) - Canadian Parents for French (CPF) is calling for a co-ordinated push by the federal government, provincial/territorial governments and school boards to successfully meet Ottawa's commitment to a dramatic increase in bilingual education opportunities.

The national, parent-led advocacy group today released its annual Report on the "State of French Second Language Education (FSL) in Canada" at a Parliament Hill news conference. The Report is the most comprehensive analysis available of the current status of both core (or, basic) French and French immersion education across Canada.

"After years of growth, FSL education is stagnating in Canada," said Dr. Ian Richmond, CPF National President and French professor at Nova Scotia's CollÈge Ste-Anne. "Immersion enrolment is stable, with enrolment falling in many jurisdictions and growth limited to only a few. However, the numbers of young Canadians exposed to core or basic French classes is falling across the board."

"Indeed, there is a universal decline in both absolute numbers and the percentage of eligible children for core French enrolment across the country. This is very worrisome, as core or basic French provides the great majority of students with their exposure to our second official language.

"This troublesome decline, linked to the need for larger numbers of qualified FSL teachers and greater classroom resources, speaks to the urgency of concerted action by education officials at all levels of government. Only Alberta anticipates reversing this trend, largely as the result of a policy that makes instruction in one of seven second languages mandatory for nine years of schooling This is regrettably not the case in a majority of provinces and territories."

The CPF Report examines FSL enrolment trends over a period of several years. This methodology provides a better indicator of patterns, while eliminating extraordinary events particular to any one year.

"Failure to mount a co-ordinated, effective approach to boosting FSL enrolment will call into question the federal government's laudable goal of doubling the number, within ten years, of high school graduates with a working knowledge of both English and French," added Jim Shea, the CPF's Ottawa-based National Executive Director.

"The good news is that Canadian Parents for French strongly believes we can reverse this situation, if all the stakeholders pull together for this very desirable and achievable goal."

The CPF Report lays out a number of building blocks to a comprehensive response to stemming FSL attrition:

  • Greater transparency and accountability for the spending of dedicated FSL education funding;
  • Introduction of a wider range of core French delivery models and teaching tools;
  • More and better classroom materials for French immersion studies;
  • Innovative variation on existing programs (such as a move to 'compact core' or block scheduling);
  • Aggressive recruiting to ensure that reserved spaces for FSL teachers at education colleges are filled;
  • More use of distance learning to expand and enrich FSL education;
  • More opportunities for study, work or exchange programs in French majority language regions; and
  • Stronger promotion of FSL programs to parents by school boards.

"We believe the federal government should assume a leadership role in co-ordinating this effort," Shea continued. "We are reiterating our call for a national summit of all FSL partners - governments, teachers, education administrators and parents - to put this plan into motion.

"There is a time to study, and a time to act. The time to act is now."

Canadian Parents for French is a national network of volunteers which values French as an integral part of Canada and which is dedicated to the promotion and creation of French-second-language learning opportunities for your Canadians.

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Information:

Shailagh O'Shaughnessy, Communications Officer
Canadian Parents for French
(work) 613. 235. 1481 ext. 27
(cell) 613. 862. 7669
176 Gloucester Street, #310
Ottawa, ON K2P 0A6
www.cpf.ca

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Pour diffusion immÉdiate 24 octobre 2003

Canadian Parents for French met de l'avant des solutions novatrices pour pallier à l'inquiÉtant dÉclin des inscriptions en français langue seconde (FLS)

Un groupe de pression menÉ par des parents prÉconise une coordination à trois niveaux pour atteindre les objectifs d'Éducation bilingue d'Ottawa

OTTAWA - Canadian Parents for French (CPF) prÉconise un effort concertÉ de la part du gouvernement fÉdÉral, des gouvernements provinciaux et territoriaux, ainsi que des commissions scolaires pour rÉaliser l'engagement d'Ottawa d'augmenter de façon radicale le nombre d'occasions d'Études bilingues.

Le groupe de pression national, formÉ de parents, a dÉvoilÉ aujourd'hui son rapport annuel intitulÉ « l'État de l'enseignement du français langue seconde au Canada », au cours d'une confÉrence de presse tenue sur la Colline du Parlement. Le rapport constitue la plus vaste analyse disponible sur l'État actuel de l'enseignement en français de base et en français par immersion partout au Canada.

« AprÈs plusieurs annÉes de croissance, l'enseignement du FLS a atteint un plafond au Canada », a dÉclarÉ M. Ian Richmond, prÉsident national de CPF et professeur de français au CollÈge Ste-Anne, en Nouvelle-Écosse. « Les inscriptions en immersion sont stables, mais les inscriptions diminuent dans plusieurs juridictions, et seules quelques-unes connaissent une certaine croissance. Toutefois, le nombre de jeunes inscrits à des classes de français de base est en baisse partout au pays. »

« En fait, on assiste partout au Canada un dÉclin gÉnÉral des inscriptions, à la fois au niveau des chiffres absolus et du pourcentage d'Étudiants Éligibles à l'enseignement du français de base. Cette situation est trÈs prÉoccupante, car l'enseignement du français de base constitue, pour la grande majoritÉ des jeunes Canadiens, le seul contact avec leur seconde langue officielle. »

« Ce dÉclin troublant, reliÉ à la nÉcessitÉ de disposer d'un plus grand nombre d'enseignants du FLS qualifiÉs et de ressources scolaires plus abondantes, indique bien l'urgence d'entreprendre une action concertÉe de la part des responsables de l'Éducation à tous les paliers de gouvernements. Seule l'Alberta anticipe un reversement de cette tendance, en grande partie grâce à l'adoption d'une politique qui rend obligatoire, pendant neuf ans d'Études, l'apprentissage de l'une de sept langues secondes. Ce n'est malheureusement pas le cas de la majoritÉ des provinces et des territoires. »

Le rapport de CPF Étudie les tendance des inscriptions sur une pÉriode de plusieurs annÉes. Cette mÉthodologie fournit une meilleure indication des cycles, tout en Éliminant les ÉvÉnements extraordinaires limitÉs à une seule annÉe.

« à moins d'adopter une approche coordonnÉe et efficace qui permettra d'augmenter le nombre des inscriptions en FLS, il faudra remettre en question l'objectif louable du gouvernement fÉdÉral de doubler, d'ici dix ans, le nombre de finissants possÉdant une connaissance raisonnable du français et de l'anglais », a ajoutÉ Jim Shea, directeur gÉnÉral de CPF.

« La bonne nouvelle, c'est que Canadian Parents for French croit fermement qu'il est possible de renverser la situation, si tous les intervenants s'unissent pour atteindre ce but dÉsirable et rÉaliste. »

Le rapport de CPF prÉconise un certain nombre d'ÉlÉments-clÉs pour contrer l'attrition en matiÈre de FLS:

  • Une meilleure transparence et une plus grande responsabilisation des intervenants au niveau de l'emploi des fonds destinÉs à l'enseignement du FLS;
  • La crÉation d'un plus grand nombre de modÈles de prestation et d'outils pÉdagogiques pour l'enseignement du français de base;
  • Des outils pÉdagogiques plus nombreux et amÉliorÉs pour l'Étude en immersion française;
  • Apporter des variantes novatrices aux programmes existants (comme le recours aux horaires par blocs);
  • Un recrutement agressif, pour veiller à combler toutes les places rÉservÉes aux futurs enseignants du FLS dans les Écoles d'enseignements;
  • Un plus grand recours à l'Éducation à distance, afin de dÉvelopper et d'enrichir l'enseignement du FLS;
  • CrÉer de plus nombreux programmes d'Étude, de travail ou d'Échanges dans des rÉgions à majoritÉ francophone; et
  • que les commissions scolaires fassent une promotion plus intensive des programmes de FLS auprÈs des parents.

« Nous sommes d'avis que le gouvernement fÉdÉral doit jouer un rôle de leader dans la coordination de cet effort », a poursuivi M. Shea. « Nous rÉitÉrons notre appel en faveur d'un sommet national de tous les partenaires du FLS - gouvernements, enseignants, administrateurs scolaires et parents - pour mettre ce plan en action. »

« Il existe un temps pour l'Étude, et un temps pour l'action. Le temps d'agir est arrivÉ. »

Canadian Parents for French (CPF) est un rÉseau national de bÉnÉvoles, qui considÈre que le français fait partie intÉgrante du Canada, et se consacre à promouvoir et à crÉer pour les jeunes Canadiens des occasions d'apprentissage du français langue seconde.


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Pour plus d'informations:

Shailagh O'Shaughnessy, Agente des communications
(bureau) 613. 235. 1481 poste 27
(cellulaire) 613. 862. 7669
176 rue Gloucester, piÈce 310
Ottawa, ON K2P 0A6 www.cpf.ca

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